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LE CERCLE DE SAINT-LÉONARD
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LECTURES & BIBLIOGRAPHIE

Paul LEDOUX, peintre alsacien engagé volontaire dans l'armée française 1914-1918.

Carnets et correspondance de guerre présenté par son petit-fils, le Docteur François Ledoux et Jean-Noël Grandhomme, professeur en histoire contemporaine à l'Université de Lorraine et Alain Savignol, officier d'artillerie.

Le peintre de St-Léonard s'engage dans l'armée française alors que l'Alsace est allemande depuis 1871 et que ses quatre frères sont enrôlés par les forces ennemies. La dure vie de Poilu est décrite sans concession et représentée par quelques aquarelles et dessins exécutés au profit du commandement de la 3e armée dont il devient à la fois le dessinateur, le secrétaire et l'nterprète. Ses œuvres ont été versées aux services de Télégraphie et du Renseignement et protégées.

Son fils Guy sera représenté par l'artiste Georges Gabriel Picard (1857-1943) dont la fiche biographique se trouve sous l'onglet "Cercle Saint Léonard".

Éditions Presses universitaires Rhin et Danube 2024. 392 pages. 30€


 

ODILIA CODEX  de Thierry BURGARD
Thierry Burkard, ancien ambassadeur et  président d'honneur de l’association des « Amis de la Léonardsau et du cercle de Saint-Léonard », a publié un roman très amusant, mi-polar, mi-canular, qui se déroule dans la région du Mont Sainte-Odile. Certaines pages sont consacrées à Saint-Léonard, au parc de la Léonardsau et à la marqueterie Spindler, parmi beaucoup d’autres hauts lieux de la culture régionale. Le livre fourmille d’allusions historiques, littéraires et même politiques, qui en font une sorte de condensé, ironique et jubilatoire, des « mythes alsaciens ». Une parodie du Da Vinci Code, très bien accueillie par la critique. Éditions Coprur 2008. Px: 20 €


L'ALSACE D'ALBERT KAHN, premières photos couleurs 1917-1921
Vladimir Vasak, Dominique Jung et Pascal Lemaître ont consigné dans ce livre le travail d'un petit groupe d'opérateurs de prises de vue qui ont arpenté l'Alsace et la Moselle après la première guerre mondiale. Miracle d'une technologie balbutiante, il ont laissé un témoignage en couleur de cette période.
Ces autochromes, avaient été réalisées grâce au soutien du banquier Albert Kahn, alsacien installé à Paris après la perte de l'Alsace-Lorraine en 1871.
Albert Kahn, idéaliste et utopiste, avait un rêve: que la paix règne sur terre grâce à la connaissance de l'autre. Il dépensa alors une bonne partie de sa fortune à envoyer des photographes et des cinéastes à travers le monde pour mieux le comprendre. Leur travail était scientifiquement dirigé par un géographe Jean Bruhnes.
Ces témoignages sur une région en plein bouleversement sont à mettre en parallèle avec ceux de Charles Spindler et Anselme Laugel, au début du siècle.
L'ouvrage montre des photos exceptionnelles et les replace dans leur contexte historique. Il relate aussi l'aventure d'un homme qui a collecté 72 000 plaques d'autochromes dans son Musée de Boulogne-Billancourt et a créé un jardin composite dans les Hauts-de-Seine, dont la forêt vosgienne a été replantée et le célèbre iardin iaponais est entretenu soigneusement par le département depuis 1964. Prix: 29 €. Éditeur Gérard Klopp.


Henri EBEL (1849-1931) le « Maître de Fegersheim ».

Le livre conte avec bonheur l’histoire de ce peintre multi-facettes d’origine allemande, mais alsacien de cœur, échoué dans la banlieue strasbourgeoise dés 1866. Son oeuvre, un peu tombée dans l’oubli à la fin du XXe siècle, est ressuscitée aujourd’hui par quelques fervents admirateurs entourés d’anciens conservateurs de musée, comme Bernadette Schnitzler (Strasbourg) et Pia Wendling (Haguenau).

Henri EBEL est né dans la famille nombreuse d’un petit viticulteur du Palatinat. Dernier de la fratrie, il rejoint son frère aîné exerçant le métier le peintre d’église à Fegersheim. Après une brève formation à Munich (1875-1877), il doit subvenir aux besoins de la famille de son frère mort prématurément en 1878. Dans les églises qu’il décore ou qu’il restaure, il est confronté au froid, à l’humidité et à l’obscurité. Peut-être, est-ce la raison de sa fascination pour la lumière, la chaleur et les effets d’éclairage. C’est en tous cas ce qu’il tente d’apprivoiser dans sa riche œuvre profane qui vous est révélée dans cet intéressant ouvrage. 136 pages. Prix: 25 €. I.D. l'Édition. Ouvrage collectif.


Gustave STOSKOPF, une conscience alsacienne

Biographie de Richard Edmond SCHALCK
Artiste caractéristique de l’âme alsacienne, prolifique de plusieurs centaines de tableaux et dessins, auteur d’une quinzaine de pièces de théâtre en dialecte et de multiples poèmes et chants, Gustave Stoskopf a été à l’origine du Théâtre alsacien et, avec ses amis du Cercle de St-Léonard, de la Maison d’Art alsacienne, du Musée Alsacien, de publications diverses littéraires et artistiques ainsi que d’émissions radiophoniques en alsacien.
À travers ses entreprises, il n’a eu de cesse de défendre la cause et la culture alsacienne qu’il craignait de voir disparaître. Par ses splendides portraits de paysans, il a su immortaliser sa région et une époque. Avec ses nombreux documents d’archives et reproductions d’œuvres de Gustave Stoskopf, un livre à ajouter dans sa bibliothèque !
160 pages. Prix 25 €. ID. l'Édition


Cent ans d’histoire de la Société des Amis des Universités de l’Académie de Strasbourg 1920-2020

Michel Hau, Antoine Latham et Nicolas Stoskopf

Une étude qui balaie 100 ans de mobilisation de la société civile au profit de l’Université de Strasbourg qui se devait de répondre à ce qu’avaient créé les Allemands pendant leur cinquante ans de présence en Alsace-Lorraine au tournant des XIXe et XXe siècles.

C’est Pierre Bucher qui fut l’initiateur (voir fiche biographique du Cercle de St-Léonard). Dans le groupe fondateur du 31 octobre 1919, on retrouve, outre Ferdinand Dollinger (1862-1936), médecin et rédacteur en chef de la Revue alsacienne illustrée de 1901 à 1914, Frédéric Eccard (1867-1952) avocat et docteur en droit, également collaborateur de la Revue alsacienne illustrée, et le Baron Albert de Dietrich (1861-1956) ingénieur des Mines et propriétaire du domaine de la Léonardsau…Sont relatées bien des vicissitudes traversées par ce réseau de fidèles amis dont vous découvrirez les noms et les actions au cours du siècle passé. Prix 20€. 200 pages. PUS.


Rupture et transmission

Histoires, langues et liminarités en Alsace depuis 1815

Sous la direction de Dominique Rosenblatt et Gérard Schaffhauser.Un ouvrage qui étudie le socle culturel alsacien sous la plume de plusieurs éminents auteurs et accompagné d’un CD audio.Coup de projecteur particulier sur l’article de Paul-Philippe Meyer qui survole les deux derniers siècles de l’activité musicale alsacienne. Le musicologue s’attache tout particulièrement à Marie-Joseph Erb (voir fiche biographique). « Ses œuvres de musique de chambre, particulièrement ses Lieder et ses mélodies, sont souvent données en première audition à ses amis du Cercle de Saint-Léonard » écrit-il, en insistant sur sa complicité avec Gustave Stoskopf (voir fiche biographique). Prix 20€. 514 pages. Transverse, milieux et media


Strasbourg-Riga: l’Art nouveau aux confins d’empires

Revue de la Bibliothèque Nationale de Strasbourg du Printemps 2019
Cet ouvrage est le fruit d’un colloque qui s’est tenu au printemps en partenariat avec la Bibliothèque de Lettonie en vue de faire rayonner les patrimoines de ces deux villes, reconnues mondialement par l’Unesco. Vous y trouverez d’excellents articles d’auteurs qui nous tiennent à cœur comme :

  • Hervé DOUCET, maître de conférence en histoire contemporaine à l’Université de Strasbourg, sur l’architecture Art Nouveau à Strasbourg
  • Nicolas STOSKOPF, professeur émérite d’Histoire contemporaine à l’Université de Haute Alsace sur le Cercle de St-Léonard et l’animation de la scène artistique strasbourgeoise (1895-1910)
  • Marie POTTECHER, Directrice du Musée alsacien, sur l’urbanisme à Strasbourg (1890-1914)
  • Julien et Walter KIWIOR, galéristes, sur Léon ELCHINGER, céramiste alsacien aux influences européennes
  • Aline HAUCK, sur les affiches, ex-libris, etc...
  • et bien d’autres que nous ne pouvons énumérer ici.
  • Prix: 15€. 146 pages.

Couverture et dos:
Wilhelms Purvitis, ca.1910 (Musée National de Lettonie Riga)
Emile Schneider, Kunst Austlellung Strassburg Novembre 1897
Achat possible à la BNU, en librairie ou commande en ligne www.bnu.fr


Gustave Stoskopf, un étudiant alsacien à Paris 1887-1894

Correspondance familiale et récit autobiographique sur la vie d’artiste présentés par Pierre Rézeau, lexicographe et directeur de recherche honoraire au CNRS, Nicolas Stoskopf, historien et professeur émérite à l’Universite de Haute Alsace et Daniel Zimmer, psychiatre et historien.

En novembre 1887, Gustave Stoskopf (1869-1944), jeune homme de 18 ans, quitte Brumath, alors en Alsace allemande, pour se rendre à Paris étudier la peinture.
Ces années d’apprentissage sont connues par la correspondance qu’il entretient avec sa mère Caroline et par un récit autobiographique. La publication parallèle de ces deux documents inédits offre un témoignage rare sur l’enseignement des Beaux-Arts tel qu’il est délivré à la fin du XIXe siècle dans les Académies Colarossi et Julian, mais aussi à Munich où l’artiste fait un bref séjour en 1892.
Au fil des lettres, c’est en même temps tout un vécu qui s’exprime entre une mère inquiète, en attente de nouvelles, et un fils qui raconte et veut rassurer entre un horizon assombri par la maladie et les espérances du succès, entre la difficulté de vivre sous le régime prussien et celle d’être considéré comme un Allemand à Paris.
Quant à la langue, elle témoigne aussi de ce moment de l’histoire d’Alsace et contribue à l’émotion qui se dégage de cet échange.Ouvrage publié à l’occasion du 150e anniversaire de la naissance de l’artiste.
478 pages. Prix 25 €. Éditions du Signe. En vente à la Marqueterie Spindler, 3 cour du Chapitre 67530 St-Léonard/Boersch


Gustave Stoskopf, le poète de l’âme alsacienne

Catalogue de l’exposition organisée à Brumath à l’occasion du 150e anniversaire de la naissance de l’artiste. Gustave Stoskopf, (1869-1944), ami de Charles Spindler, a été un des membres actifs du Cercle de St-Léonard. Il a d’ailleurs écrit sa première pièce « D’r Herr Maire » en 1898 dans ce lieu fédérateur tout proche de Boersch où Anselme Laugel recevait au tournant du siècle tous les acteurs de la vie culturelle alsacienne.
Après avoir découvert les vaudevilles d’Eugène Labiche (1815-1888) qu’Anselme Laugel l’invite à lire, Gustave Stoskopf se lance à son tour dans l’écriture de théâtre. Il écrira une quinzaine de pièces dont l’illustration ou la mise en musique seront souvent partagées avec ses amis du Cercle.
Mais cet artiste protéiforme possède plus d’une corde à son arc! Il succède à Joseph Sattler dans la publication des Images Alsaciennes avec Charles Spindler.
Rassemblant tous ses amis artistes, G.S. initie la Maison d’art alsacienne à Strasbourg. Dessinateur et peintre lui-même, il exposera ses paysages et plus tard ses incomparables portraits finement ciselés à Strasbourg, Lille, Darmstadt, Cologne, Berlin, Bruxelles, Barcelone et Pittsburg. Et il est le seul peintre de sa génération qui expose à Paris jusqu’à sa mort en 1944, a déclaré son petit-fils, Nicolas Stoskopf lors de l’inauguration de l’exposition de Brumath le 1er mars 2019.
Dramaturge, peintre, homme de plume, de presse et de radio, les multiples aspects de ce personnage hors du commun sont à découvrir au fil de ces pages.
96 pages. Prix 20 €. ID.Éditions


Luc Hueber, portrait intime(1888-1974) par Mireille Jacquet, ancienne élève de l’École Nationale des Beaux-Arts et des Arts Appliqués de Bourges, professeur d’arts appliqués de 1972 à 2007 à Obernai et Molsheim.
À l’origine de la biographie de l’artiste peintre, un mémoire de maîtrise en histoire de l’art qui a déjà contribué au succès d’une exposition organisée en 2003 par la conservatrice Pia Wendling à la Chapelle des Annonciades de Haguenau.
Luc Hueber formé de 1907 à 1909 à l’École des Arts Décoratifs de Strasbourg par Auguste Cammissar, Georges Daubner et Karl Jordan, a rejoint le groupe de mai. Il a énormément produit et jusqu’à la fin de sa vie, était habité par sa peinture…
Ce très bel ouvrage, conçu comme un tableau en recueillant d’innombrables témoignages, de traces et de souvenirs intimes, permet aujourd’hui de comprendre l’homme et d’appréhender son œuvre picturale comme un cadeau. Nombreuses illustrations sur papier glacé.

196 pages. Prix 38 €. Éditions de la Neustadt Galerie 2018


Fragments du journal d'Amélie (Strasbourg, 1840-1857) d’Amélie Weiler

Vingt textes inédits, réunis et présentés par Nicolas Stoskopf aux Editions de la Zorn, avec le concours de Pierre Rézeau.

Près de vingt-cinq ans après la première édition du Journal d'une jeune fille mal dans son siècle (La Nuée Bleue, 1994), Amélie Weiler revient avec un choix de textes inédits, écrits entre 1840 et 1857. Elle nous invite à la suivre dans ses pérégrinations strasbourgeoises ou ses excursions alsaciennes et badoises, au spectacle ou au bal, dans ses tracas domestiques comme dans ses rêveries et ses fantasmes. Quel que soit le sujet, se confirme un talent d’écrivain qui s’épanouit avec bonheur dans l’intimité d’un journal, œuvre unique aux facettes multiples. 174 pages. Prix 14 €. Éditions de la Zorn (editions.zorn@gmail.com)


L’ARTISTE ET L’OBJET, la création dans les arts décoratifs (XVIIIe-XIXe siècle)

Collectif d’auteurs sous la direction d’Aziza Gril-Mariotte, maître de conférence en histoire de l’art à l’Université de Haute Alsace et chercheur au Centre de Recherches sur les économies, sociétés, arts et techniques.

Depuis le XVIIIe siècle, les artistes et les manufactures ont collaboré de différentes manières. De l’œuvre unique à l’objet reproduit à plusieurs exemplaires, les conditions de transmission de la forme et du décor ont évolué avec les techniques du moment.Réunissant des chercheurs en histoire de l’art moderne et contemporain, l’ouvrage retrace avec bonheur les collaborations entre dessinateurs, artistes et fabricants qui ont donné le jour à toutes sortes d’objets dans l'ameublement, les arts de la table, la verrerie, les textiles et papiers peints, etc… En couverture Victor Prouvé d’Emile Gallé, 1892. Musée de l’École de Nancy. Publié avec le soutien du CRESAT-Université de Haute Alsace. Prix 26 €. Éditions PUR


Néogothique ou la fascination du Moyen-Âge en Alsace (1880-1930)

Ouvrage collectif dont nous retiendrons particulièrement l’article de Florian Siffer sur « Charles Spindler et l’inspiration médiévale ».
Soutenu par la volonté politique du pouvoir allemand d’ancrer le Reichsland Alsace-Lorraine nouvellement créé dans l’aire germanique, l’étude et la glorification du Moyen-Âge connaissent un grand engouement des artistes alsaciens, comme Léo Schnug ou Joseph Sattler dont la grande œuvre, Die Niebelungen, reçoit un prix lors de l’Exposition Universelle de 1900. Sattler, professeur de l’École des arts décoratifs de Strasbourg, contribue à la diffusion des thèmes médiévaux, source d’inspiration du Jugendstil dans le Reichsland à travers la publication de revues illustrées, d’ex-libris ou de portfolios. Entre 1900 et 1908, le Haut-Koenigsbourg est restauré par B. Ebhardt sous l’autorité de Guillaume II. Léo Schnug y réalise de grandes fresques médiévales…
190 pages. Prix: 45€. BNU Éditions.


Dictionnaire culturel de Strasbourg 1880-1930

Ouvrage collectif conçu comme une bibliothèque portative privilégiant
« le moment strasbourgeois » sous la direction de Roland Recht et Jean-Claude Richez.
Cent cinquante spécialistes ont répertorié et écrit 700 notices sur cette période d’un demi-siècle. L’Alsace est soumise aux influences germaniques et françaises qui se mêlent ou s’opposent pour créer une identité alsacienne nouvelle. Strasbourg se métamorphose avec la création d’une nouvelle université, l’inauguration d’un nouveau musée des Beaux-Arts, l’ouverture d’une école des Arts décoratifs et une architecture qui se déploie en quartier impérial ou Neustadt. Après les vicissitudes de la guerre, les transformations culturelles et intellectuelles se poursuivront avec la création en 1928 du complexe de l’Aubette et le lancement, l’année suivante, d’une revue d’histoire économique et sociale par Lucien Febvre et Marc Bloch qui va bouleverser le regard sur l’histoire. 600 pages. Prix: 45€. PUS


Laboratoire d’Europe, Strasbourg 1880-1930

Catalogue de l’exposition du même nom sous la direction de Joëlle Pijaudier-Cabot, directrice des Musées de Strasbourg et Roland Recht, professeur à l’Institut d’études avancées de Université de Strasbourg.

Sont définis les acteurs et lieux de culture, les collectionneurs et institutions du savoir, les hommes et les femmes qui ont contribué à l’effervescence artistique et intellectuelle de cette grande ville qui, selon Edgar Quinet « fait penser à tout ce qu’il y a d’illimité dans l’histoire ». Une mention particulière sur le chapitre sur le Cercle de St-Léonard enfin reconnu et placé dans son contexte européen, en contre-point des reconstitutions des différents salons internationaux du début du XXe siècle auxquels participèrent bon nombre d’artistes et d’artisans de ce groupe. Richement illustré d’œuvres inédites et et curiosités.

390 pages. Prix: 45€. Édition des Musées de la ville de Strasbourg.


Léo Schnug, un artiste de légende de la Neustadt au Haut-Koenigbourg

Julien et Walter Kiwior, les deux jeunes auteurs du livre sur le Kunschthafe, ont repris la plume pour raconter le parcours de Léo Schnug, artiste d’origine allemande du début du XXe siècle, qui comptait parmi les membres du Cercle de St-Léonard (lire sa fiche biographique sous l’onglet Cercle St-Léonard). Passionnés depuis une bonne dizaine d’années par l’art alsacien, nous avons fait leur connaissance lors de leurs recherches sur Léon Hornecker dont ils souhaitaient constituer le catalogue raisonné. Nous les avons retrouvés lors de joyeux dîners à la Petite-France, à la manière du Kunschthafe d’Auguste Michel, dont ils voulaient retrouvé l’esprit, puis dans plusieurs galeries de Strasbourg animées avec passion. Témoignant d'une inlassable curiosité, ils méritent d’être encouragés dans leur entreprise de valoriser l’école alsacienne…192 pages dont 200 visuels. Prix: 39€. Édition Vandelle.


L’Alsace en Héritage

Un magnifique ouvrage sur onze propriétés alsaciennes d’exception, en tirage limité et numéroté, que signent Etienne Martin, conservateur du musée des Arts décoratifs de Strasbourg et Marc Walter, photographe.
Ces superbes demeures recèlent en leurs murs patinés par le temps l’âme et le coeur de l’Alsace. Elles sont toujours habitées mais leurs occupants n’apparaissent qu’en filigrane au travers de quelques portraits de leur ascendance ou d’anciennes photographies. Seuls les objets, meubles ou collections authentiques parlent au nom de leurs propriétaires.
D’une plume d’une rare sensibilité, l’auteur respecte l’intimité des familles tout en racontant l’histoire des lieux avec intelligence et émotion, admirablement soutenu par des images de grande qualité.
304 pages et 300 photos. Prix: 95€. Swan Editeur.


Fantaisies et ornements, planches décoratives d’Anton Seder

par Florian Siffer et Didier Cascaro, dans le cadre de l’exposition multipolaire « Strasbourg, Laboratoire d’Europe, 1880-1930 »

Anton Seder gagne Strasbourg à la fin du XIXe siècle pour y devenir le directeur de la nouvelle école des Arts Décoratifs de Strasbourg. Il cherche à promouvoir cette école appelée« Kunstgewerbeschule » en1890 en liant davantage artisanat et art et en accordant une place de choix à l’observation de la nature, «maîtresse de tous les arts» selon lui. « Une école des arts décoratifs doit plus être un atelier qu’une école » écrit-il encore le 6 décembre 1888.

« L’intégration d’ateliers techniques et la promotion de la nature comme matrice de l’enseignement doivent permettre de dépasser l’académisme » explique Florian Siffer, auteur de l’ouvrage, sur sa pédagogie qui a pris peu à peu le pas sur sa création artistique.
La reproduction en couleur des planches décoratives d’Anton Seder permet au lecteur de prendre la mesure d’un talent trop souvent ignoré.
Prix: 20 €. Édition des Musées de la ville de Strasbourg en partenariat avec la HEAR.


Ambiances dans les jardins et parcs d’Alsace

Valérie Meyer nous invite à découvrir les jardins d’Alsace dont celui de la Léonardsau qui l’a particulièrement touchée. Photographe et grande voyageuse, elle porte un regard plein d’émotion sur le monde végétal et vous livre quelques bonnes adresses d’écrins de verdure à découvrir. 200 pages. Prix: 45 €. Édition Jérôme Do Bentzinger. www.editeur-livres.com.


Promenade en alsace

Aquarelles de Fernand de Dartein (1838-1912)

Ce très joli livre consigne les superbes aquarelles de Fernand de Dartein, alias Jean Heimweh. Au fil des pages vous découvrirez son Alsace, celle qu’il a quittée pour entrer à la prestigieuse École Polytechnique de Paris en 1855, puis à celle des Ponts et Chaussées deux ans plus tard. Vous vous approcherez d’une personnalité sensible et talentueuse grâce à Dominique Demenge qui met admirablement en lumière ce fonds d’archives familiales. Avec la complicité de Catherine Jordy et de Damien Schitter. 160 pages. Prix: 32 €. I.D. l'Edition.


Joseph Kaspar SATTLER ou La Tentation de l’os

Commentaire littéraire de Vincent Wackenheim sur 16 dessins de la Danse macabre réalisée en Alsace entre 1892 et 1894, réédités pour la première fois.

Ces planches fantastiques, satiriques et plutôt noires ont été reproduites à Berlin, Paris et Londres. Elles seront admirées par Alfred Jarry, Edouard Munch et Henri Graf Kessler, au moment où l’artiste munichois travaille à la Revue Pan dont il dessinera l’affiche.
Vincent Wackenheim s’attache aussi admirablement au parcours créatif de Sattler (cf. fiche biographique - Cercle St-Léonard) pris dans les tourments de l’Histoire. 208 pages. Prix: 30 €. Éditions L’Atelier Contemporain.


Un nom qui a fait le tour du monde DE DIETRICH

Marie-Thérèse FISCHER et Christophe CARMONA

Cette bande dessinée retrace l'histoire exemplaire d'une famille qui a marqué la vie publique et industrielle de l'Alsace et de l'Europe.

En 1578, Demange Didier devient bourgeois de Strasbourg sous le patronyme de "Sonntag Dietrich" sans penser que ce nom traverserait le temps et les distances...
De l'allumage du premier haut fourneau de Jaegerthal en 1685 jusqu'à nos jours, les générations successives se sont transmis les valeurs de travail, l'esprit de famille et le souci du bien public.
Comptée parmi les pionniers de la construction automobile et ferroviaire, l'entreprise a su s'adapter à chaque époque en diversifiant sa production et en la diffusant à travers le monde.
Prix: 15 €. Éditions du Signe.


Art Nouveau Abécédaire

Hommes, œuvres, lieux en Alsace et ailleurs de Paul-André BEFORT, Chantal KONTZLER et Pierre LERY.

Cet ouvrage à 162 entrées alphabétiques vous fera découvrir le mouvement Jugendstil et ses prolongations en Alsace, carrefour européen, et dans plusieurs grandes villes européennes comme Nancy, Bruxelles, Riga, Vienne, Darmstadt ...

Le désir d'innovation autour de 1900 touche tous les domaines de développement, l'architecture avec son style "coup de fouet" et son inspiration végétale mais aussi l'urbanisme, la musique, la littérature, le patrimoine industriel, les aménagements stratégiques et les arts décoratifs. C'est un art pour tous qui mêle dans une esthétique globale arts mineurs et majeurs, portés par des innovations dans les matériaux et les progrès de la science.
860 photos, essentiellement de Paul-André Befort, François Brotschi et Gérard Loeb.

Prix: 35 €. Éditions Vent d'Est.


L'Histoire de l'École Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg

Gabriel ANDRES retrace une tranche de la vie artistique de toute l'Alsace au travers de cette institution plus que séculaire qui de 1890 à 2014 a formé des artistes et des artisans d'art de renommée internationale. Les bâtiments, en particulier les grandes céramiques de style Art Nouveau réalisées par Léon Elchinger mériteraient aujourd'hui d'être restaurées.
A noter: les intéressantes biographies des directeurs et professeurs de l'école devenue aujourd'hui HEAR. 300 pages. Prix: 28 €. Éditions Jérôme Do Bentzinger.


L'Alsace en bande dessinée.

Il s'agit de 12 albums dessinés et racontés par un collectif, scénariste, dessinateur et coloriste, changeant au fil des volumes. Marie-Thérèse FISCHER s'est attelée avec Didier PAGOT et Sambo CHHUN à l'ouvrage n°11, qui nous intéresse tout particulièrement:  l'Alsace dans le Reich (1871-1918).

Cette période, marquée par la domination de l'Allemagne sur notre région, a connu l'émergence  d'un mouvement artistique et littéraire autour de Charles SPINDLER et Anselme LAUGEL à St-Léonard dont on n'a pas fini de parler! La bande dessinée fait figurer en page 23 la marqueterie SPINDLER, le service Obernai d'Henri LOUX et évoque aussi le théâtre de Gustave STOSKOPF et la poésie dialectale des frères MATTHIS...

Un outil très utile pour rendre accessible au plus grand nombre l'histoire de l'Alsace à travers les âges. Éditions du Signe.


Alfred Marzolff, un sculpteur alsacien

Un ouvrage de Lore VALERY, petite nièce de l'artiste avec la collaboration de ses filles, Françoise et Juliette.

L'auteur s'appuie sur le mémoire d'Histoire de l'Art d'Audrey DUFOURNET de 1997.
Malgré de nombreuses réalisations dispersées dans toute l'Alsace, l'oeuvre de Marzolff, parfois comparée à celle de Rodin, n'a pas toujours été reconnue et saluée comme elle le méritait. Ce livre permet une meilleure connaissance de cet artiste et de sa production.

Nombreuses illustrations couleur et tableau des localisations des oeuvres en fin d'ouvrage.

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